Audrey Lamothe

Étape 1: Visualisation du dossier de RAD: La Décroissance

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Pour commencer ce projet, nous avons tous regardé la capsule portant sur la décroissance créée par RAD. Je l'ai trouvé particulièrement intéressante car elle est facile à comprendre et un peu humoristique. La vidéo est très bien faite, et elle m'a permis d'en apprendre plus sur le sujet, mais elle nous a surtout inspiré à se lancer nos propres défis pour «décroître».

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Voici la vidéo que nous avons regardée:

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Étape 2: Choisir un aspect qui me touche particulièrement et changer quelque chose à son quotidien pour au moins 72h.

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Suite à cette nouvelle inspiration, j'ai pensé à ce que je pouvais changer dans mon quotidien pendant 72 heures qui pourrait réellement faire une différence. J'ai eu plusieurs idées, mais un aspect qui m'a vraiment fait penser est l'énorme quantité de déchets que nous créons à chaque jour. Je me suis donc fixé l'objectif de diminuer considérablement, ou même éliminer tous mes déchets pendants trois jours. 

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Pour se faire, j'ai commencé par garder tous le déchets que j'aurais normalement jetés pendant une journée comme référence. Ceci incluait mes lingettes démaquillantes, mes emballages de nourriture, mes mouchoirs, et bien plus encore. Le lendemain, j'ai pris un pot en verre pour conserver tous mes déchets que j'allais avoir pendant la journée. Vers la fin de la journée, j'ai réalisé que le pot que j'avais choisi était trop petit pour tout contenir. Cela m'a vraiment frappé, car je ne pensais pas que mon défi allait être si difficile à compléter. Pour la deucième journée, j'ai décidé d'utiliser un sac ziploc un peu plus grand, car le pot était un peu plus diffcile à trainer et je ne voulais pas me décourager trop vite en utilisant un contenant trop petit. Les deuxième et troisième journées se sont beaucoup mieux passées, car j'ai pensé à faire des choix qui réduiraient mon nombre de déchets: j'ai utilisé un contenant réutilisable pour apporter mon dîner, j'ai utilisé du démaquillant liquide au lieu de lingettes, etc.

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Je n'a pas été capable d'éliminer tous mes déchets dans une journée, mais l'effort que j'ai mis pour les réduire ma ouvert les yeux à cette problématique, et depuis, je porte une attention particulière à cet enjeu.

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Étape 3: Discussions en classe et sous-groupes par grandes thématiques/sujets.

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Après avoir réalisé nos défis individuellement, nous nous sommes réunis en sous-groupes selon les sujets de nos défis. 

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En discutant avec les autres qui ont tenté de réduire leur nombre de déchets, j'ai réalisé plusieurs choses. Nous avons rencontrés plusieurs obstacles similaires, et c'était intéressant de voir comment ils ont pu les surmonter. Notre discussion nous a aussi amené à réfléchir encore plus profondément sur le sujet. Entre autres, nous nous sommes questionnés sur s'il était réellement possible d'éliminer tous les déchets à long terme. Dans nos petits défis, nous nous disions qu'il y  a certaines choses qui ne produisaient pas de déchetes sur le coup, mais bien éventuellement, dont mon exemple de démaquillant en bouteille de plastique, ou même l'utilisation de shampoing. De plus, le suremballage est un vrai problème dans notre société qui est difficile à résoudre à échelle personnelle. 

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Bref, nos défis personnels se sont quand même bien déroulés, mais la problématique à toujours besoin de beaucoup d'attention.

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Étape 4: Créer un projet SMART, un projet de sensibilisation destiné à un public cible, et le réaliser.

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La prochaine étape était de mettre de l'Avant tous nos apprentissages pour créer un projet de sensibilisaton simple, mais efficace. C'est avec mes coéquipiers que nous avons pensé à préparer des collations «zéro-déchet» et de les offrir gratuitement aux élèves du Collège Sainte-Anne à l'heure du midi. Nous nous sommes installés près de la caféteria, où il y a le plus d'élèves qui passent à ce moment. Afin de rendre le projet plus durable, nous avons crée une présentation Powerpoint avec toutes les recettes que nous avons utilisées pour permettre aux jeunes de les prendre en photo ou de les noter pour pouvoir les recréer par la suite. De plus, nous avons demandé à certains jeunes de nous montrer leur boîtes à lunch, afin de les sensibiliser à la problématique dans leur quotidien. Cela a vraiment fait réfléchir plusieurs jeunes, car ils réalisaient à quel point cet enjeu les touchaient personellement. 

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En tout, pendant l'heure que nous avons passée à distribuer nos collations et à parler aux jeunes, nous avons compté un total d'environ 76 jeunes sensibilisés. De plus, environ 90% des élèves qui nous ont montré leurs boîtes à lunch vaient des produits emballés. 

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